====== Liberté_2000-2005_André Goulet ====== ===== PORTRAIT D’UNE CRITIQUE OU D’UN CRITIQUE ===== ==== A) Informations générales ==== **Textes étudiés :** « Gros mots et autres vacheries », Liberté, vol. 42, n° 1, (247) 2000, p. 135-140. **Nom du critique :** André Goulet **Statut institutionnel du critique :** Ancien directeur des Éditions d’Orphée et de la revue Situations (1959-1962). **Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) :** Cette fiche recense le seul texte de cet auteur dans la chronique qui soit pertinent au sujet de recherche. **Genre du texte :** Critique. **Place des textes dans l’économie globale de la revue :** Publié sous l’intitulé « Littérature québécoise », à la fin de la revue, avec les autres chroniques, et juste avant « Pour non-liseurs ». **Événements littéraires québécois mentionnés :** Aucun. ==== B) Informations métacritiques ==== **Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) :** Le critique livre un texte ludique, qui rend compte de sa lecture d’une manière spontanée et peu structurée. Le critique se place à distance d’un certain travail critique pour lequel la littérature serait « une science exacte ». **Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine :** Aucunes. **Élection de certaines œuvres ou certains écrivains :** Dévadé de Réjean Ducharme est jugé similaire mais mieux réussi que Gros Mots (no 247). **Valorisation de lieux éditoriaux :** Non. **Valorisation d’événements littéraires :** Non. **Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) :** Le critique apprécie le langage ducharmien, qui demande au lecteur de s’adapter. Goulet juge qu’aucune écriture et partant, aucune œuvre, n’est aussi généreuse et intense que celle de Ducharme. **Autres valeurs ou enjeux défendus :** Aucun. **Autres remarques :** Aucune. Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard