====== Liberté 1980-1986_fiche 9_Javier Garcia Mendez ====== ===== PORTRAIT D’UN TEXTE OU D’UN CRITIQUE ===== ==== A) Informations générales ==== **Textes étudiés :** « Cortázar ou l’impossibilité du thrène », intitulé « Cortázar 1914-1984 », Liberté, no 153, juin 1984, p. 94-108. Nom du critique : Javier García Méndez (1945-2006) **Statut institutionnel du critique :** Spécialiste de littérature latino-américaine, il soutient un doctorat en sémiologie à l’UQAM et à l’Université d’Ottawa. Il travaille comme lecteur de nouvelles et animateur radio à Radio-Canada et enseigne la littérature au Canada jusqu’en 1992, moment auquel il enseigne comme maître de conférences l’Université de Bretagne occidentale (Brest). Il obtient son HDR à Poiriers en 1996, enseigne Rennes de 1997 à 2004, puis à Tours. participe à la revue Anclajes depuis sa fondation. Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) : Pas une chronique. **Genre du texte :** Texte d’analyse comparatiste. **Place du texte dans l’économie globale de la revue :** Dans le dossier Cortázar 1914-1984. Événements littéraires québécois mentionnés : Aucuns. ==== B) Informations métacritiques ==== **Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) :** Ton intimiste, s’adresse fréquemment à son lecteur qui est mis en scène ( à la page X de votre édition, etc). **Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine :** S’intéresse au problème de l’expression, du langage figé hérité des cultures européennes, qui est relevé par Julio Cortázar et par le Frère Untel dans « La Canada français : drame de l’expression ». Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Non. Valorisation de lieux éditoriaux : Non. Valorisation d’événements littéraires :¬¬ Non. Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Non. Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucuns. Autres remarques : Aucunes. Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard