Textes étudiés : « La défense de Michèle Lalonde et le goût POT-LAID-MOCKEY », section « Chroniques », intitulé « Polémique », Liberté, no 129, mai-juin 1980, p. 91-97.
Nom du critique : Jean-Pierre Faye
Statut institutionnel du critique : A obtenu un doctorat d’État (France) en 1972 ; membre (1964) puis directeur du CNRS (1983).
Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) : Pas une chronique.
Genre du texte : Texte d’opinion.
Place des textes dans l’économie globale de la revue : Dans la section Chroniques.
Événements littéraires québécois mentionnés : Réponse à François Hébert, « Des dazibaos à Outremont? », no 127, qui critique Michèle Lalonde.
Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) : Ton mesuré, parfois emporté et parfois taquin. Point de vue d’un étranger, qui bénéficie de la distance.
Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine : Juge déplorable que Lalonde soit critiquée pour être reconnue et publiée en France. Accuse les détracteurs de Lalonde d’être incapables de reconnaître l’auteure, possiblement en raison d’un machisme et d’un snobisme déplorables.
Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Michèle Lalonde, Gaston Miron.
Valorisation de lieux éditoriaux : Mentionne la revue Change.
Valorisation d’événements littéraires : Aucuns.
Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Aucunes.
Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucuns.
Autres remarques : Aucunes.
Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard