Textes étudiés : « Les précieuses minuscules », intitulé « Ô saisons, ô chateaux », section « Chroniques », Liberté, no 157, février 1985, p. 146-152.
Nom du critique : Jacques Brault
Statut institutionnel du critique : Diplômé de l’Université de Montréal et de la Sorbonne. Enseigne les lettres à l’Institut des études médiévales de l’Université de Montréal et passe en 1981 au département d’études françaises. Poète, romancier, dramaturge et essayiste, il travaille aussi pour la chaîne culturelle de Radio-Canada. Récipiendaire du prix du Gouverneur général (1971, 1985, 1999), du prix Athanase-David (1986) et du prix Gilles-Corbeil (1996).
Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) : Variable.
Genre du texte : Chronique sporadique, très personnelle, narrative, récit.
Place des textes dans l’économie globale de la revue : Variable, dans la section Chroniques.
Événements littéraires québécois mentionnés : Aucuns.
Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) : Ton intimiste, très personnel. Posture critique et ironique.
Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine : Brault se moque de l’enflure d’un certain langage critique associé à la contre-culture qui utilise du jargon structuraliste.
Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Non.
Valorisation de lieux éditoriaux : Non.
Valorisation d’événements littéraires :¬¬ Non.
Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Non.
Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucuns.
Autres remarques : Aucunes.
Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard