Textes étudiés :
Nom du critique : Robert Mélançon
Statut institutionnel du critique : Professeur de littérature à l’Université de Montréal depuis 1972.
Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) :
Genre du texte : Chronique d’humeur, compte-rendu.
Place des textes dans l’économie globale de la revue : Fin de la revue.
Événements littéraires québécois mentionnés : Aucun.
Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) : Incisif, railleur.
Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine : Se moque de la NBJ, qui serait l’exemple d’un conformisme (paradoxal) des avant-gardes. Raille l’obsession de ses contemporains à critiquer l’héritage moderne au profit du postmoderne. Tourne en ridicule ceux qui prétendent que la Révolution Tranquille a tout inventé.
Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Non.
Valorisation de lieux éditoriaux : Vante le choix de la revue XYZ de publier un numéro de nouvelles d’une page.
Valorisation d’événements littéraires : Non. Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Non.
Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucun.
Autres remarques : Aucune.
Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard