Table des matières

Liberté 1980-1986, fiche 2, Gilles Archambault

PORTRAIT D’UN TEXTE OU D’UN CRITIQUE

A) Informations générales

Textes étudiés :

Nom du critique : Gilles Archambault (1933-)

Statut institutionnel du critique : Écrivain et éditeur (Éditions du Sentier). Animateur et réalisateur à la radio de Radio-Canada.

Genre des textes : Chronique, récit.

Place dans l’économie globale de la revue : Voir plus haut.

Événements littéraires québécois mentionnés : Aucun.

B) Informations métacritiques

Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) : Point de vue contemplatif, ton moqueur.

Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine : Se désigne, suivant l’expression d’un professeur de littérature qui n’est pas nommé, « d’écrivain intimiste » et met en doute la pertinence d’une telle étiquette. Raille la critique, met en doute sa valeur.

Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Non.

Valorisation de lieux éditoriaux : Se moque des écrivains québécois qui font la promotion de la littérature québécoise comme si il s’agissait d’une cause, d’un enjeu à défendre. Ridiculise ces auteurs dont les entreprises de mise en valeur de la littérature au Québec et à l’étranger sont subventionnés. Sous-entend qu’un tel système engendre un enthousiasme obligé vis-à-vis de la littérature québécoise.

Valorisation d’événements littéraires : Archambault affirme que la vie publique d’un écrivain (rassemblements, salons, critiques, etc.) lui est pénible.

Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Non.

Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucuns.

Autres remarques : Aucunes.

Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard