====== Liberté 1980-1986_Yvon Rivard ====== ===== PORTRAIT D’UN TEXTE OU D’UN CRITIQUE ===== ==== A) Informations générales ==== **Textes étudiés :** * « Scribe en deçà de la frontière », section « Chroniques », intitulé « Lire en traduction 1 », p. 83-88 ; * « Siècle à mains », dossier « L’institution littéraire québécoise », Liberté, no 134, janvier-février 1981, p. 66-69 ; * « La double négation », dossier « la France et nous », Liberté, no 138, novembre-décembre 1981, p. 23-27. **Nom du critique :** Yvon Rivard **Statut institutionnel du critique :** Professeur de littérature à McGill **Genre des textes :** Essais. **Place des textes dans l’économie globale de la revue :** Variable, voir plus haut. **Événements littéraires québécois mentionnés :** Aucuns. ==== B) Informations métacritiques ==== **Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) :** Posture d’essayiste, qui explore un sujet en l’écrivant, dénotant ouverture et curiosité. **Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine :** Yvon Rivard croit que la littérature (et, plus globalement, la société) québécoise doit se comprendre comme distincte, puisque nous ne sommes ni Français, ni Américains. **Élection de certaines œuvres ou certains écrivains :** Non. **Valorisation de lieux éditoriaux :** Critique Denis Monière, président de l’UNEQ, qui cherche à valoriser les œuvres populaires et à rendre plus populaires les écrivains québécois « sérieux ». **Valorisation d’événements littéraires :** Non. **Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) :** Non. **Autres valeurs ou enjeux défendus :** Rivard développe une vision de la littérature (et de tout art) comme une imposture. Il insiste pour rejeter tout cynisme et toute amertume : si il est impossible de rendre compte de l’existence, l’art produit une connaissance symbolique essentielle. Autres remarques : Aucunes. Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard