Textes étudiés : « De l’empire du sens au fait divers », intitulé « Les revues littéraires », dossier « L’institution littéraire québécoise », Liberté, no 134, mars-avril 1981, p. 47-52.

Nom du critique : Pierre Nepveu

Statut institutionnel du critique : Professeur de littérature à l’Université de Montréal.

Genre du texte : Portrait et analyse des revues littéraires considérées dans leur ensemble.

Place du texte dans l’économie globale de la revue : Dans le dossier « L’institution littéraire québécoise ».

Événements littéraires québécois mentionnés : Aucuns.

Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) : Ton assez neutre, se pose en autorité.

Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine : Aucunes.

Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Non.

Valorisation de lieux éditoriaux : Lettres québécoises s’intéresse trop aux évènements littéraires, et pas assez à la littérature. Spirale fait preuve d’une certaine cohérence idéologique, mais s’intéresse peu à la littérature québécoise et à sa portée politique. La Barre du jour et La Nouvelle Barre du Jour présentent les textes de fiction et la poésie comme hors de toute institution. Estuaire se veut une victoire de l’autonomie de la poésie. Dérives étudie en parallèle le Tiers-monde et le Québec, mettant l’accent sur l’écritures des minorités, des différences. Liberté balance entre l’ironie et l’engagement littéraires, faisant peu de place à l’articulation du politique et du social.

Valorisation d’événements littéraires :¬¬ Non.

Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Non.

Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucuns.

Autres remarques : Aucunes.

Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard