====== Liberté 1980-1986_F17_Gilles Marcotte ====== ===== PORTRAIT D’UN TEXTE OU D’UN CRITIQUE ===== ==== A) Informations générales ==== **Textes étudiés :** « Institution et courants d’air », dossier « L’institution littéraire québécoise », Liberté, no 134, mars-avril 1981, p. 10-15. **Nom du critique :** Gilles Marcotte **Statut institutionnel du critique :** Professeur de littérature à l’Université de Montréal depuis 1965. **Forme de la chronique (consacrée à quel genre? Fait-elle quelques lignes ou quelques pages ? Y’a-t-il plusieurs livres dans la même chroniques? Etc.) :** Un seul texte. **Genre du texte :** Texte d’histoire littéraire à la fois savant et essayistique. **Place du texte dans l’économie globale de la revue :** Dans le dossier « L’institution littéraire québécoise ». **Événements littéraires québécois mentionnés :** Aucuns. ==== B) Informations métacritiques ==== **Posture générale du critique (ton, point de vue, etc.) :** La démarche est celle de l’histoire littéraire, donc plutôt académique, mais laisse paraître des opinions plus tranchées. **Réflexions générales sur la littérature québécoise contemporaine :** La littérature québécoise, et la canadienne-française avant elle, s’est construite après l’institution. Le financement gouvernemental soutient l’édition et les processus de consécration; l’école fait de la littérature québécoise un corpus incontournable. Cette littérature se bâtit non pas autour de monuments, mais autour d’œuvres plus ou moins bonnes, qui sont nécessaires à l’institution. Élection de certaines œuvres ou certains écrivains : Non. Valorisation de lieux éditoriaux : Non. Valorisation d’événements littéraires :¬¬ Non. Valorisation d’esthétique(s) particulière(s) : Non. Autres valeurs ou enjeux défendus : Aucuns. Autres remarques : Aucunes. Lecteur/lectrice : Rosalie Dion-Picard