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Fiche de lecture
1. Degré d’intérêt général
Malheureusement pour l'auteur et le lecteur, 29, rue Couillard tend davantage vers la perte de temps que vers l'exaltation que susciterait la découverte du roman de l'année. C'est une chance que le nombre de pages soit limité à 158, ce qui n'avait toutefois pas suffi, à l'époque, d'empêcher Réginald Martel de tenir des propos plutôt cruels : “M. Dubé, qui a publié il y a une dizaine d'années deux romans, la Mariakèche et Damnée Aimée, chez Leméac et VLB, nous montre une fois encore que la bonne volonté ne saurait pallier une totale absence de talent”(La Presse, 15 mars 1992). La voix narrative est unique et tout ce qu'il y a de plus classique (extra- et hétérodiégétique), sauf lors de quelques occasions qui relèvent davantage, à mon avis, d'erreurs de la part de l'auteur.
2. Informations paratextuelles
2.1 Auteur : Laurent Dubé
2.2 Titre : 29, rue Couillard
2.3 Lieu d’édition : Sillery
2.4 Édition : Septentrion
2.6 (Année [copyright]) : 1992
2.7 Nombre de pages : 158
2.8 Varia :
3. Résumé du roman
4. Singularité formelle
5. Caractéristiques du récit et de la narration
6. Narrativité (Typologie de Ryan)
6.1- Simple 6.2- Multiple 6.3- Complexe 6.4- Proliférante 6.5- Tramée 6.6- Diluée 6.7- Embryonnaire 6.8- Implicite 6.9- Figurale 6.10- Anti-narrativité 6.11- Instrumentale 6.12- Suspendue
Justifiez :
7. Rapport avec la fiction
8. Intertextualité
9. Élément marquant à retenir