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fq-equipe:guibert_herve_1991_des_aveugles_paris_gallimard._myriam_saint-yves

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fq-equipe:guibert_herve_1991_des_aveugles_paris_gallimard._myriam_saint-yves [2012/04/01 13:52] myriamfq-equipe:guibert_herve_1991_des_aveugles_paris_gallimard._myriam_saint-yves [2018/02/15 13:57] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1
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 **1. Degré d’intérêt général** **1. Degré d’intérêt général**
  
-Pour le projet diffraction : intéressant.+Pour le projet diffraction : moyennement intéressant.
  
 Pour le projet enquête : aucun intérêt. Pour le projet enquête : aucun intérêt.
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 **5. Caractéristiques du récit et de la narration** **5. Caractéristiques du récit et de la narration**
  
-C'est ici que ça devient intéressant. Pendant les premières pages du roman, on croit d'abord à une narration hétérodiégétique classique : le roman s'ouvre avec une étrange scène de carnaval dans laquelle les protagonistes rêvent de sang et vengeance. Puis suit le récit de la vie de Josette et Robert, avant et après leur arrivés à l'institut, le tout à la troisième personne. Ce n'est qu'à la page 71 (jusqu'à la page 75) que surgit le narrateur : « En décembre 19.., je devins lecteur à l'Institut. » Toutefois, il se manifeste très peu dans le reste du roman, et il semble qu'il n'ait jamais parlé directement aux protagonistes. Le lecteur de l'Institut, vers la fin du roman, finit capturé par les aveugles qui lui prélèvent les yeux afin de les greffer à un chien enragé (p. 134). Après cette scène, le narrateur ne se manifeste plus. +C'est ici que ça devient intéressant. Pendant les premières pages du roman, on croit d'abord à une narration hétérodiégétique classique : le roman s'ouvre avec une étrange scène de carnaval dans laquelle les protagonistes rêvent de sang et vengeance. Puis suit le récit de la vie de Josette et Robert, avant et après leur arrivée à l'institut, le tout à la troisième personne. Ce n'est qu'à la page 71 (jusqu'à la page 75) que surgit le narrateur : « En décembre 19.., je devins lecteur à l'Institut. » Toutefois, il se manifeste très peu dans le reste du roman, et il semble qu'il n'ait jamais parlé directement aux protagonistes. Le lecteur de l'Institut, vers la fin du roman, finit capturé par les aveugles qui lui prélèvent les yeux afin de les greffer à un chien enragé (p. 134). Après cette scène, le narrateur ne se manifeste plus. 
  
 **6. Narrativité (Typologie de Ryan)** **6. Narrativité (Typologie de Ryan)**
fq-equipe/guibert_herve_1991_des_aveugles_paris_gallimard._myriam_saint-yves.1333302764.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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