INFORMATIONS PARATEXTUELLES Auteur : BERGOUNIOUX, Pierre Titre : L’orphelin Édition : Paris, Gallimard Collection : Blanche Année : 1992 Appellation générique : Roman Bibliographie de l’auteur : Catherine, Ce pas et le suivant, La bête faramineuse, La maison rose, L’arbre sur la rivière, C’était nous, La mue. Quatrième de couverture : Extrait de la première page et très brève notice biographique sur Pierre Bergounioux. Rabats : Non LES RELATIONS (INSTANCES EXTRA ET INTRATEXTUELLES) : Auteur/narrateur : Narrateur au « je », sans grande équivoque possible bien qu’il s’agisse d’un « roman ». Narrateur/personnage : Le narrateur raconte sa propre vie ou du moins certains faits de sa propre vie, en particulier la mort de son père, prétexte à l’évocation de leurs relations discordantes. Sujet d’énonciation/sujet d’énoncé : Les relations fils/père. Faut-il y lire une tentative d’identification et de filiation spirituelle entre Flaubert et Bergounioux? Ancrage référentiel : Oui, mais minime. Page 102, référence à un « voyage clandestin » que Flaubert aurait effectué « vers 1802 » « de Paris à Trouville ». « En janvier 1844, il s’effondre, comme un sac, frappé de catalepsie, dans le cabriolet que conduit son frère, sur la route de Pont-L’Évêque » (p. 103). Indices de fiction : Projection des pensées de Flaubert : « L’encre a séché dans son encrier. Il se demande : « Pourquoi ne suis-je pas resté là-bas? » » (p. 102). Topoï : Relations père-fils. Biographé : Surtout Bergounioux, un peu Flaubert. Pacte de lecture : L’indication générique en couverture ne laisse en fait rien attendre de particulier. Attitude de lecture : On attend malgré tout l’apparition attendue (par ouï-dire). Hybridation, Différenciation, Transposition : Autres remarques : Convient minimalement ou du moins de façon fragmentaire » (p. 95-108) par évocation de Flaubert. Rédigé par Élisabeth Haghebaert