Berardinelli, Alfonso, « Du postmoderne à la mutation. Comment le XXe siècle s’achève », Diogène, n° 186, avril-juin 1999, p. 124-140. « Cela seul est typiquement postmoderne. Pluralité, expansion, multi-usages, mélange de haute et de basse culture, de culture “cultivée” et de culture “de consommation”, entrelacement ironique et complice de ton académique et de matériaux propres auc mass media (ou à l’inverse de ton irrévérencieux et de thèmes traditionellement “profonds”). » (p. 126) Fin de l’Histoire, du progrès, des grands méta-récits, etc. La fin du XXe siècle aurait été la fin de la postmodernité. L’ère dans laquelle nous entrons, Berardinelli propose de l’appeler celle de la Mutation.