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Théâtralisation du texte, de sa mise en page

Prise en charge du caractère écrit/fictionnel par l'énonciateur

Mimétisme d'une parole discontinue, disloquée

- « Dans des romans narrant la banalité, c’est la narration elle-même qui devient l’évènement (114) ou bien les narrateurs, exposant des fragments de récits (discontinuité), expriment leur « mal du récit », leur manque et leur incapacité à raconter. En parallèle, d’autres romans trouvent dans l’absence d’évènements marquants une nouvelle dynamique : une structure énumérative (de faits anodins) remplace la structure narrative. » (109)

- Récits fragmentaires axés sur la communication vers un destinataire anonyme; le texte joue un rôle de mémoire : « Dans le roman de Tremblay [L’hiver de pluie] […] le narrateur s’adresse à un personnage narrataire et le récit repose autant sur le déroulement du discours que sur la trame événementielle. Les fragments de récits ou les récits incomplets qui, sur le plan de trame évènementielle, signalent le défaut, le manque de liens, trouvent, sur le plan du discours, une signification différente. » (125)

(Anne-Marie CLÉMENT, « La narrativité à l'épreuve de la discontinuité » dans AUDET, René et Andrée MERCIER [dir.], La narrativité contemporaine au Québec, tome 1 - La littérature et ses enjeux narratifs, Québec, Les presses de l'Université Laval, 2004.)

Mise en récit du geste d'écriture, depuis sa genèse jusqu'à sa stabilisation

diffraction/theatralisation_du_texte_de_sa_mise_en_page.1380827988.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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