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diffraction:signaux_-_france

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 Robert Lévesque, «Sur l'étagère de Beckett», //Le Devoir//, samedi, 5 juin 1993, p. D5. Robert Lévesque, «Sur l'étagère de Beckett», //Le Devoir//, samedi, 5 juin 1993, p. D5.
  
-**- Éric Chevillard**un article à propos de **//Préhistoire//**, Paris, Minuit, 1994.+**- Éric Chevillard, //Préhistoire//**, Paris, Minuit, 1994.
  
 «Éric Chevillard, à trente ans, et en six romans, impose une œuvre originale, perturbante, excitante, où "la logique déchaînée" devient une forme de lyrisme. Ses personnages dont les noms, quand on les connaît - Plock, Crab, Furne - rappellent l'univers de Beckett, sont des rêveurs qui, dans leur folie sauvage et déductive, essayent de modifier la réalité. Et l'écriture, avec ses réticences, ses variations burlesques, ses accélérations et ses ruptures, nous entraîne dans un délire angoissant et jubilatoire, **au seuil du récit à jamais différé**.» «Éric Chevillard, à trente ans, et en six romans, impose une œuvre originale, perturbante, excitante, où "la logique déchaînée" devient une forme de lyrisme. Ses personnages dont les noms, quand on les connaît - Plock, Crab, Furne - rappellent l'univers de Beckett, sont des rêveurs qui, dans leur folie sauvage et déductive, essayent de modifier la réalité. Et l'écriture, avec ses réticences, ses variations burlesques, ses accélérations et ses ruptures, nous entraîne dans un délire angoissant et jubilatoire, **au seuil du récit à jamais différé**.»
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 Monique Petillon, «Le gardien enfermé», //Le Monde//, vendredi, 18 novembre 1994, p. 3. Monique Petillon, «Le gardien enfermé», //Le Monde//, vendredi, 18 novembre 1994, p. 3.
  
 +**- Éric Chevillard, //Le vaillant petit tailleur//**, Paris, Minuit, 2003.
  
 +Chevillard explore les «modalités du récit» / «Tout lui est prétexte à **digressions baroques** [...].» / «Mais en route, que de détours fabuleux, de plongées dans des univers parallèles. [...] Dans son jardin siennois, l'auteur qui "a appris sa leçon chez les plus grands", sait aménager **les pauses et les diversions**. Il les nourrit de **variations** zoologiques et botaniques, de **références** savantes plus ou moins cryptées, de **précisions** maniaques. Formant ainsi **un objet littéraire inqualifiable**, d'une drôlerie somptueuse [...].»
 +
 +Isabelle Rüf, «Sept d'un coup», //Le Temps//, samedi, 11 octobre 2003 (no 1764).
  
 **- Éric Chevillard, //Un fantôme//**, Paris, Minuit, 1995.  **- Éric Chevillard, //Un fantôme//**, Paris, Minuit, 1995. 
 +
 +«Et continuent les routines, les comportements minuscules ou détraqués, les tournures de style, envolées grandioses, grandes résolutions, petites actions. Ainsi de suite.»
 +
 +J.-M. de Montremy, «Le monde selon Crab», //La Croix//, lundi, 8 janvier 1996, p. 19.
  
 **- Nathalie Sarraute, //Ici//**, Paris, Gallimard (Blanche), 1995. **- Nathalie Sarraute, //Ici//**, Paris, Gallimard (Blanche), 1995.
diffraction/signaux_-_france.1270575196.txt.gz · Dernière modification : 2018/02/15 13:56 (modification externe)

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