EXTRAIT, « La rivière des Taupières, qui serpente autour de l'asile, embrasse, dans son cours, trois faces de cette institution, et fournit en abondance l'eau la plus pure. Un tuyau de fer conduit l'eau d'un réservoir creusé dans la rive nord de la rivière, à l'asile, d'où elle est refoulée dans de grandes citernes placées dans différentes parties de la maison, pour être ensuite distribuée aux divers lavoirs, bains-d'orages, lieux-d'aisance etc. »

EXTRAIT, « On dit que l'année dernière à peu près à la même époque il trouva moyen de s'évader en passant par un canal d'égout qui débouche sur la petite rivière de l'asile. »

EXTRAIT, « Les propriétaires de l’asile de Beauport se servaient de l’eau fournie par une petite rivière appelée Rivière des Jésuites. Des travaux considérables avaient été faits pour rendre cette eau des plus convenables. Depuis des manufactures s’établirent le long de cette rivière, entre autres celle de MM. Hardy-Dubord et celle de Madame Renaud.L’eau étant devenue mauvaise, les dames religieuses durent songer à se procurer ailleurs une eau potable. Elles achetèrent en conséquence une source d’eau située sur la propriété de M. Sanfaçon, rang St-Michel. »

COMMENTAIRE, On mentionne qu'il a été question du ruisseau de la Cabane aux Taupiers deux fois dans le Journal des Jésuites en 1646. Il est question aussi de Florentin Lambert (voir Correspondance, contrats et procès-verbaux) qui est Marchand Libraire Bourgeois de Paris et qui vient d'acquérir une terre entre la rivière Saint-Charles et la terre de Paul Chaillifour (rivière Cabane aux Taupiers).

EXTRAIT, « Olivier le Tardif aagée de trence vinq ans ou environ tesmoings receu et faict jurer de dire la verité sur ce quil seroit acquis a dit que le jour vingt sept de ce moys et lheure de huict a neuf heure du soir Il ayda a faire du plomb aud deffunct de la Porte qui disoit avoir veu quantité d'oyes vers le rivage de la cabane aux Taupiers et quil devoit y aller tirer le lendemain de grand matin avecq le nommé Pierre lemyeux qui est M Vallet (…). »

INTÉGRAL, « Ce petit cours d'eau se jette dans le Saint-Laurent, quelques arpents au nord de la ferme de Maizerets. C'est la rivière des Fous, appelés autrefois 'de la cabane au Taupier'. »

EXTRAIT, « Les historiens de la guerre de 1812 se sont longtemps demandé où furent logés, à Québec, les prisonniers, officiers supérieurs surtout, de l'armée américaine qui avaient été capturés à Détroit par les nôtres et amenés à Québec. Sir James Lemoine a soutenu avec raison qu'ils furent logés dans la vieille demeure du juge Bonne, à Beauport, et qu'on appelait la 'Canardière'. Cette demeure se trouvait à l'endroit où l'on voit de nos jours une aile de l'Asile de Beauport. Et la tradition a confirmé en grande partie cette assertion de sir James. Le Ruisseau Saint-Oours qui est adjacent à la 'Canardière' était la limite que ces prisonniers ne pouvaient franchir sans manquer à leur parole. »

COMMENTAIRE, Le toponyme utilisé dans l'article reste un mystère.

EXTRAIT, « L'histoire n'avait pas retenu que Louis Riel avait passé près de deux ans dans des institutions psychiatriques de Montréal et de Québec. Principalement à Saint-Michel Archange, à Beauport, connu alors sous le nom 'D'Asile des aliénés de Québec'. Il y séjourna un an et demi, du 21 juin 1876 au 23 janvier 1878. »

EXTRAIT, « Le maire Lamontagne a reconnu que la canalisation de la rivière du Moulin, à Limoilou, qui n'est de fait qu'un égout à ciel ouvert, est une nécessité absolue. Il importe, dit-il, d'éliminer ce ruisseau pestilentiel dans lequel se déversent les eaux usées de l'hôpital Saint-Michel Archange. »

EXTRAIT, « A l'époque les seigneurs avaient le devoir de construire et d'entretenir un moulin banal où les habitants faisaient moudre leur grain. À l'est du trait- carré, il y avait un ruisseau. C'est sur ce ruisseau que, entre 1733 et 1744, les Jésuites firent construire leur moulin à grande roue et son logis du meunier. En 1800, à la mort du père Casot, le dernier des Jésuites de la Nouvelle-France, le vieux moulin devint propriété de la Couronne, qui le loua à des meuniers jusqu'à la fin du régime seigneurial en 1854, puis le vendit à des entrepreneurs privés qui en firent connaître des années mouvementées. Il fut tour à tour une manufacture d'allumettes, une boutique de forge et une usine de fer ornemental. »

EXTRAIT, « Pour l'instant, le groupe communautaire cherche à maintenir la mobilisation citoyenne autour du projet, lequel inclut la mise en valeur du ruisseau du Moulin, avec la création d'un parc linéaire le long de ses berges, l'aménagement d'un 'musée vivant' sur sept hectares de terres de l'ancienne ferme des Soeurs de la Charité et l'ouverture d'un centre d'interprétation. »

EXTRAIT, « « Construit en 1742, le moulin était à cette époque actionné par une grande roue alimentée par la rivière de la Cabane-aux-Taupiers, aujourd’hui souterraine. »

L'INTÉGRAL, « La gestion de l'eau a causé bien des complications à Charlesbourg. Après avoir dû détourner deux rivières pour s’assurer un débit suffisant au fonctionnement du moulin, Charlesbourg s’est fait «voler» son eau, à la fin du XVIIIe siècle, par Limoilou, qui s’appelait alors Hedleyville. Pour s’approvisionner, les habitants de Limoilou ont détourné l’eau de la rivière de la Cabane-aux-Taupiers. Le moulin a eu tôt fait de manquer d’eau. Un procès a eu lieu, remporté par le meunier. « Mais comme le meunier n’avait pas d’argent pour payer l’avocat, c’est Hedleyville qui a payé… et qui a pris le moulin », raconte Ruth Giroux Allaire, bénévole depuis 21 ans à la Société historique de Charlesbourg. »

EXTRAIT, « Le drame s'est joué vers 15h , alors que le soleil plombait sur la plage achalandée. Selon le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ), la victime, âgée de 57 ans , se trouvait dans le lac Flamand avec son petit -fils lorsqu'elle a subitement perdu connaissance . Elle aurait ensuite sombré dans l’eau sous les yeux du bambin. »

EXTRAIT, « « En 1654 Robert Giffard concède des terres dans le rang St-Joseph à Zacharie Maheu, Toussaint Giroux et René Maheu. Il leur promet un chemin de sortie pour aller au moulin du ruisseau du Buisson.C'est la promesse de l'Avenue du Moulin. » (p.3)

EXTRAIT, « Dès 1637, un premier moulin à farine est construit sur le ruisseau du Buisson et en 1642, le manoir seigneurial est complété. Ce manoir abrite une chapelle où les services religieux sont dispensés de 1645 à 1662. »

EXTRAIT, « Les édits et ordonnances de 1721 (2) donnent pour limites à la paroisse 'une lieue et demie tant sur le fleuve Saint-Laurent que sur la route de Saint-Michel dite de Saint-Jean, à prendre sur le fleuve depuis les terres de Saint-Michel et sur la dite route depuis le ruisseau Prévost jusqu'à la rivière du Cap-Rouge (…) Quant au ruisseau Prévost, aucune carte ne l'indique. C'est sans doute ce mince filet d'eau qui coule aux confins actuels de Sainte-Foye et de la banlieue de Québec. »

EXTRAIT, « Noble homme Jean Nicolet de Belleborne, comme le qualifie l’abbé Tanguay, a laissé son surnom au ruis­seau “ Belleborne” qui traversait sa terre (plus tard le bois Gomin ) sur la route actuelle de Sainte Foye près Québec, et qui, aujourd'hui, borne un côté de la propriété de l'auteur des Maples Leaves. »

EXTRAIT, « Le ruisseau Belleborne est depuis 1860 la borne sud entre Spencer Grange (démembrement de Spencer Wood), et la propriété connue sous le nom de Woodfield, où est maintenant le cimetière Saint-Patrice. »

EXTRAIT, « Le 10 août 1649, Raymond consent un prêt à Pierre Lépine le 26 décembre de la même année. Il achète de Thomas Dufenil une terre sise à la côte de Beaupré mais il ne l'occupera jamais. Le 12 novembre 1650, autre transaction d'importance. Il reçoit d'Olivier Le Tardif une concession en banlieue de Québec près de la future châtellenie de Coulonge entre le ruisseau Saint-Denys et la terre de Vincent Poirier dit Bellepoire. »